La transformation de mon mari

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il y a 7 ans

La transformation de mon mari

Je m’appelle Sophie et suis une femme de quarante-deux ans. Je me suis mariée vierge à vingt-deux ans avec Georges, un homme qui m’a plue parce qu’il était très doux. II m’a comblé par sa douceur, ses longues caresses, mais avait un tout petit sexe, et les rares fois ou il me pénétrait, je ne ressentais rien. Nous nous amusions souvent, mais il ne me prenait qu’une ou deux fois' par mois. J'avais beaucoup de plaisir lors de nos étreintes, surtout à cause des longues caresses réciproques, et je connaissais de bons orgasmes sous ses doigts et sa langue. Je le caressais sur tout son corps et il a vite appris à apprécier mes caresses sur son torse, dans sa raie et surtout mes pinçons sur ses tétons. Je sentais qu'il me manquait quelque chose mais n'osais imaginer d’avoir une aventure, et encore moins de quitter mon mari.

J'avais remarqué un homme de dix ans plus âgé que moi, qui était médecin dans notre immeuble et se montrait prévenant avec moi. Discrètement, il me lançait quelques compliments et allusions auxquels toute femme est sensible. Petit à petit, je me faisais à l’idée de céder à cet homme séduisant.

Un jour que j'étais plus réceptive, il le sentit, vint vers moi, me prit dans ses bras sans que je le repousse vraiment. II glissa une main sous ma jupe, le long de mes jambes et m'embrassa. Je le laissai m'emmener chez lui et il me fit merveilleusement bien l’amour. J’ai tout de suite aimé être possédée par sa queue de bonne taille que je sentais bien vivre au fond de moi. Apres quelques après-midi dans les bras de Jacques, mon amant, je décidai d'en parler à mon mari. Je lui glissais innocemment que j'aimerais connaître un autre homme ayant un sexe plus gros que le sien pour voir ce que ça faisait. Je le rassurait en lui disant que je l'aimais et que je désirais rester toujours avec lui. Petit à petit, Georges se fit à cette idée, et le jour où je lui dis que ce médecin me plaisait beaucoup, et lui demandai si je pouvais l'inviter pour lui faire l'amour devant lui, il me donna son accord.

Je prévins mon amant et l'invitai pour le vendredi soir. Je m’étais vêtue d’une robe courte, évasée, sans soutien-gorge, d’un porte-jarretelles, d’un slip à dentelles, de bas et d'escarpins à talons hauts. Jacques fit comme si nous ne nous connaissions pas. A l'apéritif, il commença a me faire la cour, puis demanda à mon mari si j’étais amoureuse et bonne maîtresse. Georges répondit qu’il pouvait s'en assurer, s'il le voulait. Dès cet instant, mon amant se fit plus pressant. J’étais assise face a lui et son regard plongeait sous ma robe. II me dit: « Sophie, vous me plaisez, et j'aimerais admirer vos dessous ! » Je me surpris a lui obéir et d’écarter mes genoux. II avait maintenant une vue complète sur mes bas et ma culotte de dentelle.

Au bout d’un moment de conversation et pour vérifier l'accord de Georges, il me dit: Pour que j'admire vos trésors, enlevez votre culotte qui les cache ! »

Je me levais, retirais ma culotte et repris ma position assise, cuisses largement écartées. Mon mari qui me regardait offrir ma fente a la vue de Jacques n’avait aucune réaction. Mon amant me dit alors de venir m'asseoir sur ses genoux. Sa main gauche passa sur un sein, l’autre main me fit des petits pinçons sur les tétons à travers le fin tissu, puis elle glissa vers mes genoux et remonta sous la robe. La bouche de Jacques s'empara de mes lèvres dans un baiser profond. Je commençais a me sentir bien. II m’écarta lentement mais fermement les cuisses, me caressa la fente et me fouilla avec plusieurs de ses doigts.

Apres m'avoir procuré ainsi plusieurs orgasmes v i o l ents, il s'assit sur le canapé. Je retirais ma robe pour ne garder que porte-jarretelles, bas et escarpins. Georges nous regardait, toujours sans réagir. Je reculais vers Jacques qui se mit à caresser ma croupe d'une main, tandis que l’autre s'emparait de ma fente, ce qui me fit gémir de plaisir. J’écartais les jambes et les plaçais de part et d’autre de celles de mon amant. Face à mon mari, les yeux dans les siens, je saisis la queue tendue de Jacques et, tout en la caressant, la promenait sur mes grandes lèvres. Je dis alors a mon mari : « Regarde, mon chéri ! ta petite femme va se faire planter le sexe d’un autre homme dans la moule, pour son plaisir et le tien. » Je descendis lentement, et m’empalais à fond sur ce pieu qui me faisait du bien. J'eus plusieurs orgasmes devant mon mari avant que mon amant n'explose en moi.

En accord avec Georges, Jacques revenait me faire l'amour de temps en temps. Un jour, il me fit remarquer que mon époux n'était pas viril, et que son manque de réaction de le voir me posséder devant lui le prouvait. Un jour, il dit a Georges que, s’il était d’accord, il devrait nous servir quand il venait passer la soirée chez nous. De mon coté je lui suggérais qu’une tenue de soubrette lui irait bien ! II ne répondit rien. Un soir, Jacques apporta une valise et dit à Georges d’aller se changer pour nous servir le repas. Une « serveuse » adorable apparut au bout d un moment. Sa tenue comportait un soutien-gorge et des faux seins, un serre taille, des bas, des chaussures â talons, une robe boutonnée devant, un tablier.

J’étais surprise de l'aisance de mon mari dans cette tenue. II avait vraiment l’air d’une femme, avec son corps imberbe et son 1,68 m. Il fit le service pendant le repas, puis Jacques et moi avons fait 1’amour. J'avais l'impression que mon mari avait toujours été une femme ! Surtout quand Jacques passa une main sous la robe de Georges, qu’il l’a déboutonna et qu’il abaissa le slip de notre « servante » .

Après avoir rit de son sexe d'e n f a n t , Jacques a ordonné à Georges de se retourner et de se pencher en avant pour qu’il puisse lui caresser les fesses. J'allai vers Georges et pris son petit cul rond en y enfonçant doucement plusieurs doigts. A ma demande Jacques approcha sa queue. Je la pris en mains et c'est moi qui ai dépucelé le cul de mon mari avec la queue de mon amant. Puis, pendant que Jacques possédait Georges j’ai sucé la petite queue de mon mari qui était aux anges et m'a explosé dans la gorge .

Après cette première expérience, j'ai vite imposé à mon mari de n’être plus qu'habillé en femme et maquillé des qu’il était a la maison. Très vite, il n’a plus pensé qu’en femelle soumise et s’est comporté comme telle. Mon amant et moi en avons profité, Jacques a fait prendre des pilules à mon mari pour le rendre encore plus femme. Par la suite, avec son accord, il lui a même fait des piqûres de progestérone qui ont arrondi ses hanches et fait pousser ses seins.

Depuis quatre ans, il vit en femme, se maquille et pense surtout â être désirable. Jacques l’a complètement transformé, à assouvir ses désirs et le possède des qu’il en a envie. Moi-même, je suis assez docile devant Jacques qui, en fait, est devenu notre amant a tous les deux. Quand il n 'est pas là, Georges et moi, nous nous caressons comme deux gouines de façon merveilleuse. Lorsqu'il y a des invités (dans le coup aussi) à la maison, ma « copine » et moi devons passer la soirée torse nu, en mini-jupe, bas, escarpins et sans culotte Ainsi nos hôtes peuvent pincer nos seins, passer leurs mains sous nos jupes... Et naturellement, nous devons satisfaire tous leurs désirs. Nous aimons bien cette vie.

Malheureusement, Jacques va partir en province. Les deux « nanas » que nous sommes pourront s'assumer financièrement car nous avons de bons jobs. Pour le sexe ca va aussi: nous nous gouinons toutes les deux, et nous nous possédons l'une et l’autre ou ensemble, avec un double gode que je plante dans le cul de Georges et en moi devant ou derrière. Pourtant, nous sommes un peu perdue sans un patron et surtout sans une vraie queue qui se plante en nous.

Je passe de superbes soirées de caresses réciproques avec mon mari transformé mais il me manque une bonne bite. De son coté, mon transsexuel a besoin d’être rappelé a l’ordre et enculé.

Sophie.

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